La vie est transitoire…

 

On raconte l’histoire d’un touriste américain qui voyagea jusqu’au Caire, en Égypte, pour rendre visite à un célèbre sage.

 

Le touriste eut la surprise de constater que le sage vivait dans une petite chambre toute simple, remplie de livres. Il n’avait d’autres meubles qu’une table, une chaise et un lit.

― Où sont vos meubles ? demanda le touriste.

Avec à-propos, le sage repartit :

― Et les vôtres ? 

― Les miens ? répondit le touriste, interloqué. Moi, je ne fais que passer.

― Eh bien, moi aussi, je ne fais que passer, conclut le sage.

 

La vie sur terre n’est que temporelle… Cependant, certains vivent leur vie comme s’ils allaient demeurer ici-bas pour toujours, en oubliant d’être heureux.

 

La valeur d’une vie ne dépend pas du temps qu’elle dure, mais de l’intensité avec laquelle elle est vécue.

 

Dieu nous a prêté cette vie et Il viendra la reprendre. Autrement dit, rien n’est plus juste :

Nous ne faisons que passer.

 

La vraie vie n’a rien à voir avec nos possessions, parce que les biens matériels ne peuvent pas satisfaire. Ce n’est qu’en Dieu que nous pouvons trouver la vraie joie, le vrai bonheur et l’épanouissement éternel.

 

 Vivez pleinement votre vie !

 

EXTRAITS DU CHAPITRE HÉBREUX 11,

L’un des plus beaux chapitres de la Bible, sur la foi de nos pères

 

 

« Par la foi, Abraham a séjourné en étranger dans le pays qui lui avait été promis, vivant sous des tentes… Car il attendait la cité aux fondements inébranlables dont Dieu lui–même est l’architecte et le constructeur…

… et [nos pères dans la foi] ont reconnu qu’ils étaient eux–mêmes étrangers et voyageurs sur la terre. Ceux qui parlent ainsi montrent clairement qu’ils recherchent une patrie. En effet, s’ils avaient eu la nostalgie de celle dont ils étaient sortis, ils auraient eu l’occasion d’y retourner. Mais, en fait, c’est une meilleure patrie qu’ils désiraient, c’est–à–dire la patrie céleste. Aussi Dieu n’a pas honte d’être appelé « leur Dieu », et il leur a préparé une cité….

Par la foi, Moïse, devenu adulte, a refusé d’être reconnu comme le fils de la fille du pharaon. Il a choisi de prendre part aux souffrances du peuple de Dieu plutôt que de jouir – momentanément – d’une vie dans le péché. Car, estimait–il, subir l’humiliation que le Christ devait connaître constituait une richesse bien supérieure aux trésors de l’Egypte : il avait, en effet, les yeux fixés sur la récompense à venir. Par la foi, il a quitté l’Egypte sans craindre la fureur du roi et il est resté ferme, en homme qui voit le Dieu invisible. »

(Hébreux 11 :8-10 ; 13-16 ; 24-27, La Bible du Semeur)

 

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